27 mars 2009
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Les administrateurs du Théâtre n'en reviennent pas. Les auditeurs de MAZARS et GUERARD non plus.
A l'automne dernier quand le grand argentier de la Ville est venu leur expliquer qu'il entendait amputer la subvention de 35% ils ont tous répondu que ce choix allait mettre à mal l'association et créer un déficit inéluctable.
Malgré ou à cause de sa formation HEC, M. VLIEGHE a justifié sa décision par l'excédent de trésorerie dont jouissait l'ACAL.
Les auditeurs de MAZARS ont essayé de lui expliquer que cet excédent reflètait l'encaissement au mois d'août des abonnements mais que l'association devait avec cette trésorerie payer jusqu'au mois de juin suivant les salariés et les artistes.
Pas HEC.
HEC doit maintenant se justifier de la constitution d'une cagnotte de 6 millions d'euros à laquelle va s'ajouter dès le mois de septembre le produit de la hausse de 50% des impôts (2,8 M€ qui viendront s'ajouter aux recettes habituelles de la Ville).
D'où le nouveau manifeste révisionniste du Rassemblement pour Le Vésinet, (le R.P.V. de Robert Patrick Varese) dans sa dernière revue.
Dans ce plaidoyer prodomo le maire adjoint chargé des finances tente vainement de réduire de 6 à 3 les millions dont la Ville paie chaque jour les intérêts. (Avec Roger VLIEGHE pas besoin de l'Etat pour renflouer les banques !)
Il confesse qu'à la fin de l'année, quand le budget 2009 aura été entièrement exécuté, y compris le solde des sommes résultant de l'abandon du projet Place du Marché, la Ville disposera encore d'au moins 2 millions de liquidités.
Puisque HEC affirme qu'il faut réduire les subventions des associations à hauteur de leurs excédents de trésorerie (même temporaires), toute personne sensée et objective (comme dirait M. VLIEGHE) comprendra aisément que la Ville doive réduire dans la même proportion la hausse inutile des impôts.
Pour défendre sa gestion il déclare pompeusement : "il vaut mieux avoir des réserves dans les soutes que vivre dans l'incertitude des moyens indispensables".
On comprend que les administrateurs du théâtre, qui se battent pour équilibrer de vrais comptes dans une véritable entreprise produisant de véritables services avec de vraies ressources et de vraies dépenses soient interloqués par la légèreté de ce prétendu gestionnaire qui ne risque rien, n'est comptable de rien et compte sur les impôts de ses concitoyens pour payer ses erreurs.
A l'automne dernier quand le grand argentier de la Ville est venu leur expliquer qu'il entendait amputer la subvention de 35% ils ont tous répondu que ce choix allait mettre à mal l'association et créer un déficit inéluctable.
Malgré ou à cause de sa formation HEC, M. VLIEGHE a justifié sa décision par l'excédent de trésorerie dont jouissait l'ACAL.
Les auditeurs de MAZARS ont essayé de lui expliquer que cet excédent reflètait l'encaissement au mois d'août des abonnements mais que l'association devait avec cette trésorerie payer jusqu'au mois de juin suivant les salariés et les artistes.
Toute personne sensée et objective pouvait sûrement comprendre cela.
Pas HEC.
HEC doit maintenant se justifier de la constitution d'une cagnotte de 6 millions d'euros à laquelle va s'ajouter dès le mois de septembre le produit de la hausse de 50% des impôts (2,8 M€ qui viendront s'ajouter aux recettes habituelles de la Ville).
D'où le nouveau manifeste révisionniste du Rassemblement pour Le Vésinet, (le R.P.V. de Robert Patrick Varese) dans sa dernière revue.
Dans ce plaidoyer prodomo le maire adjoint chargé des finances tente vainement de réduire de 6 à 3 les millions dont la Ville paie chaque jour les intérêts. (Avec Roger VLIEGHE pas besoin de l'Etat pour renflouer les banques !)
Il confesse qu'à la fin de l'année, quand le budget 2009 aura été entièrement exécuté, y compris le solde des sommes résultant de l'abandon du projet Place du Marché, la Ville disposera encore d'au moins 2 millions de liquidités.
Puisque HEC affirme qu'il faut réduire les subventions des associations à hauteur de leurs excédents de trésorerie (même temporaires), toute personne sensée et objective (comme dirait M. VLIEGHE) comprendra aisément que la Ville doive réduire dans la même proportion la hausse inutile des impôts.
Pas Roger VLIEGHE !
Pour défendre sa gestion il déclare pompeusement : "il vaut mieux avoir des réserves dans les soutes que vivre dans l'incertitude des moyens indispensables".
Quelle arrogance !
On comprend que les administrateurs du théâtre, qui se battent pour équilibrer de vrais comptes dans une véritable entreprise produisant de véritables services avec de vraies ressources et de vraies dépenses soient interloqués par la légèreté de ce prétendu gestionnaire qui ne risque rien, n'est comptable de rien et compte sur les impôts de ses concitoyens pour payer ses erreurs.