Nous souhaitons au nouveau Sous-préfet tous nos voeux de succès dans ses nouvelles missions.
Le Directeur Général des Services (D.G.S), Xavier WEBER, est bien trop occupé à terroriser les policiers prétendûment fautifs pour pouvoir vérifier que son travail est bien fait.
Le projet de délibération 1193-11 qui sera proposé aux Conseillers Municipaux demain 20 mai en est un exemple affligeant.
On y apprend en préambule qu'il s'agit d'un projet présenté par le maire.
On découvre ensuite que c'est en fait M. VINTRAUD qui rappelle... sa propre impéritie.
Ce proche du maire nous rappelle qu'en 2009 il avait été décidé de recruter un directeur des projets pour assurer le suivi technique des projets de la municipalité.
On frémit quand on songe que depuis un an les projets de la municipalité ne sont pas suivis !
Il n'explique pas pourquoi il a choisi à l'automne 2009 de mettre sur la touche Pierre VANSOETERSTEDE qui dirigeait les Services Techniques et avait ce type de compétences.
N'aurait-il pas été plus judicieux de trouver le successeur avant de renvoyer le prédécesseur ?
Pierre dans le jardin du WEBER : le site de la ville, ce 19 mai, indique encore que Pierre VANSOETERSTEDE est directeur des Services Technique et que Michel ROUDET dont la Ville a fêté le départ en octobre est Responsable de la Place du Marché !!!
M. VINTRAUD n'explique pas davantage comment une procédure de recrutement qui a duré un an peut avoir été infructueuse au point de devoir recruter un agent contractuel plutôt qu'un titulaire de la fonction territoriale.
Ne craint-il pas que l'on imagine que les échos de l'ambiance que fait règner le DGS soient parvenus aux oreilles des candidats potentiels, les dissuadant de poser candidature ?
M. VINTRAUD, dont ce n'est pas le premier recrutement contractuel à haut niveau, ne craint-il pas le soupçon de favoritisme au mépris de la fonction territoriale ?
Ne craint-il pas que la réputation du Vésinet s'aggrave et que l'on dise dans les milieux autorisés que LE VESINET se croit tellement sorti de la cuisse de Jupiter que... ?
M. VINTRAUD déclare que cet agent aura à compter du 1er juin la charge de la programmation et de la gestion des grands projets du mandat (planification, recherche de subventions ?).
On frémit en pensant que depuis deux ans passés la municipalité n'avait aucun grand projet et qu'en l'absence de ce cador personne ne pouvait planifier ou rechercher de subventions...
M. VINTRAUD n'explique pas pourquoi ce projet de recrutement ne pouvait être étudier en commission et doit être présenté directement au Conseil.
Ne craint-il pas d'être soupçonné de vouloir éviter qu'une réflexion sérieuse ait été conduite par la commission avant de prendre cette décision qui va venir alourdir le budget de la Ville et s'ajouter aux 430 agents territoriaux dont se vante le maire dans le "special perspectives" qui vient de paraître?
Pour mémoire lors de son dernier Conseil, le maire précédent, M. FOY, a fait le bilan de ses deux mandats. Il a déclaré (p.53) du procès-verbal que les effectifs communaux étaient alors de 325. Une augmentation de 32% quand Premier ministre et Président de la République prône la réduction des effectifs !
La nature ayant horreur du vide, lorsqu'un territoire est mal défendu par ses habitants ses voisins ne manquent pas d'en profiter.
C'est ainsi que l'inconsistance, douée de suffisance, du maire du Vésinet et de son adjointe à l'urbanisme ont réussi à faire la part belle à certaines des communes de la Communauté de Communes de la Boucle de Seine (C.C.B.S.) au détriment du Vésinet.
http://www.cc-boucledelaseine.fr/habiter/le-programme-local-de-lhabitat/
C'est ainsi que la Ville du Vésinet, dont une partie des 500 hectares est classée, est engagée [p.109 du Plan Local de l'Habitat (P.L.H.) de la CCBS] à construire 522 nouveaux logements (dont 247 logements locatifs sociaux) dans la période 2010-2015.
Dans le même temps, la Ville de Montesson avec 765 hectares (dont 340 hectares de terres agricoles) a réussi à limiter sa participation à 300 nouveaux logements (dont 112 logements locatifs sociaux). [p.105 du PLH de la CCBS]
Pourquoi cette différence de traitement ? Le PLH nous l'explique fort bien : "un parc urbain de 130 hectares et ...une zone agricole de 340 hectares que la commune souhaite préserver."
Evidemment les souhaits du Maire de Montesson, Vice-Président du Conseil Général, sont des ordres, l'inexistance de celui du Vésinet une invitation pour les prédateurs.
Mais ce n'est pas le seul domaine dans lequel Jean-François BEL profite de sa double casquette de Conseiller Général du canton pour favoriser ses intérêts contre l'intérêt du Chef-lieu.
Chacun se rappellera des grandes promesses du Maire de Montesson lors de la construction des Terres Blanches en limite du Vésinet.
Depuis ces nouveaux habitants dépendent davantage des services mis à leur disposition par Le Vésinet que de ceux que Montesson devrait leur fournir.
Chacun se rappellera que le Conseiller Général n'aura pas usé de son influence pour modérer ou raisonner le projet d'urbanisation des terrains au Sud de l'Hôpital.
Chacun se souviendra de ses menées pour faire donner l'investiture du parti majoritaire à sa chef de cabinet aux dernières élections municipales.
Le présent n'a pas eu raison du passé et la prise en main du Vésinet se poursuit.
Dernière en date l'initiative de mise en place d'un Conseil Intercommunal de Sécurité et de Prévention de la Délinquance entre les Communes du Vésinet et de Montesson.
Sachant le peu de cas que le maire du Vésinet fait de sa police municipale, on imagine bien comment le maire de Montesson saura faire bon usage de cette nouvelle structure, officiellement co-présidée par les deux maires.
La mission première des Conseillers Municipaux est de défendre la Ville dont ils sont les élus.
Pour éviter l'aveuglement d'une liste sans opposition structurée, la Loi a prévu, depuis 1982, une représentation proportionnelle des listes minoritaires.
Ainsi toutes les listes ayant obtenu plus de 5% des suffrages se partagent à la proportionnelle la moitié des sièges. L'autre moitié est attribuée à la liste arrivée en tête.
Par une bizzarerie de la Loi, cette règle rencontre une exception. Celle où une liste obtient entre 5 et 10% des suffrages au premier tour et qu'il y ait un second tour (cas où aucune liste n'obtient la majorité absolue au 1er tour).
Dans ce seul cas, n'étant pas autorisée à se maintenir, cette liste, bien qu'ayant obtenu suffisamment de suffrages pour se voir attribuer des sièges, ne sera pas représentée au Conseil Municipal.
C'est cette incohérence qui explique qu'aux élections de 2008, avec 8,6% des suffrages, la liste Le Vésinet Ensemble, n'ait eu aucun représentant.
Ce faisant elle et ses électeurs ont été privés, non seulement d'une possibilité d'exprimer leur différence, mais également de l'accès aux informations auquel a droit tout élu.
Il existe heureusement un certain nombre d'alternatives mais il faut bien reconnaître que rien ne remplace le pouvoir et l'information dont dispose un conseiller municipal.
C'est dans cet esprit que dans notre article de début avril, intitulé "Une nouvelle irrégularité" nous formions le voeu qu'un recours soit déposé, faut-il le préciser, par ceux qui le peuvent le mieux : les conseillers d'opposition.
Faute de grives... nous sommes heureux d'apprendre que la tête de liste "LE VESINET ENSEMBLE" a entrepris ce que d'autres n'ont semble-t-il pas fait.
Jean-Nicolas BECUE nous communique ainsi la copie de deux courriers qu'il a adressé au maire du Vésinet lui demandant de corriger ces irrégularités.
Vous trouverez ci-joint copie de ces courriers.
cliquez sur l'image ou sur le lien.
Nous étions quelques uns à découvrir, stupéfaits, l'article consacré par le Courrier des Yvelines (CdY) à ce qu'il appelle les maisons de retraite du Vésinet. Nous vous en livrons copie ci-dessous.
Le premier des trois foyers-logements du Vésinet, la résidence "Jean Laurent", (second maire du Vésinet de 1879 à 1887) fut ouvert en 1974. Le second, la résidence "Sully", en 1980.
"Pallu", construit dans les années 80, est, en fait, une extension de "Jean Laurent à laquelle elle est reliée par un sous-terrain.
C'est le départ de la Police Nationale vers le commissariat actuel qui a permis la construction de "Jean Laurent".
A la suggestion du Secrétaire Général d'alors (M. Crétin) la Ville, qui avait concédé un bail emphytéotique à la société d'HLM en charge de la construction, décida de conserver le contrôle des travaux et de l'aménagement.
Cette solution permit non seulement au C.C.A.S. de conserver la main sur les évolutions mais également de gérer les provisions constituées chaque année auprès des locataires.
Le foyer "Sully" bénéficie lui d'un autre type de bail, du fait de l'incidence de l'Aide Personnalisée au Logement (A.P.L.). Dans son cas également c'est le C.C.A.S. qui conserve la direction des travaux.
Tous ces travaux, année après année, sont approuvés par le Conseil d'Administration du C.C.A.S. auquel siègent, depuis plus de quinze ans Mme de Cupper, et depuis bientôt dix ans Mme Tritant.
Les dépenses figurent dans les comptes administratifs du C.C.A.S. qui sont des documents accessibles au public.
Il est intéressant de souligner que pendant les quatre mandats précédents, tout en conservant son autonomie de décision, le C.C.A.S. bénéficiait auprès des fournisseurs des tarifs obtenus par la Ville pour elle-même, profitant ainsi de l'effet de masse.
On trouvera ci-après une liste non exhaustive des travaux principaux réalisés de 1995 à 2008. Nous vous la livrons sans commentaires.
Il nous semble qu'on est bien loin des déclarations vengeresses du maire du Vésinet.
De là à savoir si Robert Varese méconnait les réalités de son magistère ou s'il croit qu'en accablant ses prédécesseurs il dissimulera mieux son impéritie ?
Chacun se rappelle de la position de l'équipe municipale, en particulier Robert Varese, sur les terrains de l'hôpital :
La première proposition était contestable. Les prêtoires des tribunaux administratifs bruissent des actions entamées contre un Etat arrogant et mal faisant. La jurisprudence s'étoffent chaque année de décisions prises à l'encontre de cet Etat là.
La seconde proposition était déjà fausse lorsqu'en décembre 2008 la Ville publiait son "Spécial Finances" qui affichait près de 2 Millions d'Euros répartis entre 2012 et 2013.
Mais il semblerait que le risque soit bien plus important que cela.
Tout d'abord il faut rappeler que la convention, conclue sans beaucoup de concertation avec l'Etablissement Public Foncier des Yvelines (E.P.F.Y.) dispose que toutes les sommes engagées par ce bras financier du département seront in fine à la charge de l'aménageur ou de la Ville s'il ne se trouve aucun candidat.
Ces sommes se chiffrent déjà en centaines de milliers d'euros versées aux innombrables cabinets conseil chargés de mettre en musique les volontés de l'Etat et de pallier les incompétences de la Ville.
Elles vont s'accroître de toutes celles qui seront consacrées à l'élaboration de la fameuse Z.A.C.
Elles vont s'accroître encore du prix à payer à l'Etat pour les terrains. Ce prix n'a pas encore été fixé mais l'E.P.F.Y. est engagé au nom de la Ville à payer ce prix comme il sera fixé par l'Administration des domaines publics.
Lors des dernières discussions avec l'Etat, en 2001, le prix discuté était de 115 millions de francs (17,5 millions d'euros).
Après 4 ans, c'est à dire dès 2012, elles s'accroîtront des intérêts qui sont prévus contractuellement.
Il y a aussi les 2,05 Millions d'euros de subventions reçues par la Ville en 2009 au titre du Contrat de Développement de l'Offre Résidentielle (C.D.O.R.) du département des Yvelines qui seront définitivement perdues et remboursables si les constructions de logements n'ont pas effectivement débuté en 2013.
Il y aura le coût des constructions d'équipements publics nécessaires aux nouvelles populations si l'aménageur retenu n'accepte pas de le prendre en charge.
Entre la reconstruction du gymnase Princesse dont la démolition a été programmée, les agrandissements des écoles et la part de voirie et de réseaux non directement attribuée au programme, on parle ici de sommes supérieures à 5 millions d'euros.
Pour que la Ville échappe à cette bombe à retardement il lui faut construire un plan de financement à deux étages.
Le premier étage fixera le prix auquel l'aménageur retenu revendra les mètres carrés constructibles au promoteur chargé de réaliser les habitations.
Le second étage fixera le prix minimal auquel le promoteur devra vendre ces mêmes mètres carrés aux acheteurs éventuels afin de payer les constructions et le silo de parking prévu dans la révision simplifiée de décembre 2009 et s'assurer une marge décente lui permettant de lever les capitaux nécessaires.
Il se dit que les services de l'Urbanisme de la Ville, animés par leur très compétente maire-adjoint nouvellement promue, ont fait tourner leurs machines à calculer.
Pour que l'aménageur puisse endosser toutes les dépenses indiquées ci-dessus la Ville estimerait qu'il faut qu'il vende au promoteur les m² dévolus aux logements sociaux à 400 €/m² et ceux dévolus aux logements libres à 1.500 €/m².
Pour que le promoteur puisse, sur cette base, assurer la réalisation programmée sans se mettre financièrement en péril la Ville aurait calculé que les m² du secteur libre devraient être vendus à 6.500 €/m².
On se réjouit de ce formidable optimisme digne de notre dynamique équipe municipale.
Il semble toutefois raisonnable de le tempérer quelque peu.
En Centre-Ville, où les contraintes sont quasi-inexistantes, les récents programmes ont été proposés à 6.500 €/m². Il se dit que les transactions ont été, comme d'habitude, en deçà.
Au Rond-Point de la République, dont les caractéristiques topographiques sont plus proches de celles du quartier Princesse, les programmes les plus récents ont été proposé à des sommes significativement inférieures à 6.500 €/m².
Cela sans tenir compte, ni des effets de la crise économique sur le marché immobilier, ni des nuisances que représenteront l'éloignement géographique et les problèmes de circulation.
Des spécialistes du marché pensent d'ores et déjà que le montage financier nécessaire à la réalisation du programme trouvera difficilement preneur.
Si le projet dans son état actuel achoppe, ce qui serait peut-être une bénédiction pour les Vésigondins, qu'adviendra-t-il des sommes que la Ville devra rembourser, subventions, charges et intérêts ?
Devrons-nous assumer une nouvelle augmentation de 50% des contributions directes ?
Heureusement, dans le numéro d'avril de la revue municipale, trois pages quadrichromie nous expose que le service de l'Urbanisme, sous la houlette de sa nouvelle élue, est enfin en passe de devenir un service phare.
Une pierre dans le jardin des prédécesseurs de Mme LANG.
Cette dernière a pourtant largement contribué à la définition actuelle du programme des terrains de l'hôpital en affirmant, du temps qu'elle était en charge de la sécurité et des transports, qu'il n'y aurait pas de problèmes de circulation ni rue de l'écluse, ni chemin de ronde...
Dans un article paru dans le courrier des Yvelines daté du 31 mars (épuisé désormais), Philippe ROUDEILLAT, que l'on peut joindre par courriel philippe.roudeillat@publihebdos.fr ou par téléphone au 01.39.10.51.05., rend compte d'une intervention du maire du Vésinet lors de la séance du Conseil Municipal du 25 mars dernier.
Cette intervention consacrée au vote des taux d'imposition communaux rend assez bien compte des difficultés que, deux ans après son élection, Robert VARESE éprouve toujours au maniement des réalités communales.
On passera sur les élucubrations relatives au monde qui change,
on croira le "J'ai reçu,rencontré et écouté les Vésigondins",
on ne sourira pas devant la laborieuse manipulation des %,
on n'essaiera pas de comprendre comment 800.000 euros budgétés pourraient avoir une valeur de 600.000 euros,
on ne traduira pas en bon français "l'objet d'une nécessité de prise en compte"...
mais on s'inquiètera en comparant les projets avec les réalisations effectives
le projet de mise en oeuvre d'une "politique d'achats plus rationalisés" avec les multiples dépenses inconsidérées des deux premières années du mandat (bureau du maire 2 fois, local de campagne du RPV 825.000 €, décorations de Noël 300.000 €, etc...)
le projet d'une recherche systématique de subventions avec la révélation sur la perte de la subvention FISAC (Cf. blogue de PHENIX)
le projet d'optimisation des effectifs (par la mise en place d'un groupe qui va travailler sur le non-remplacement des fonctionnaires qui partiront à la retraite)
avec l'accroissement de 40% des agents non-titulaires avec contrat de la Ville,
avec celle de 40% des agents titulaires du secteur culture, entre fin 2008 et fin 2009,
avec l'augmentation de plus de 25% des postes réglementaires titulaires depuis le début du mandat.
et l'on s'étonnera qu'ils n'aient pas commencé à travailler plus tôt !
On rappelle que Robert Varese a imposé au Conseil Municipal de voter le budget au mois de décembre (Séance du 17 décembre 2009). L'exercice était assortie cette année d'un exercice de funambulisme : un vote de budget sans vote des taux !
Il s'agissait d'une vaste fumisterie.
En effet le budget primitif précisait bien en ligne 7311 (Contributions directes - c.à.d. Taxe Habitation + Taxes Foncières) que le montant budgété pour 2010 était de 12.297.670 €, en hausse d'exactement 1,5% par rapport au réalisé de 2009 (12.115.932 €).
L'utilisation d'un tel taux, conforté encore par les déclarations de Robert Varese au Conseil le 23 mars énonçant que la hausse des bases est d'environ 1,5% (Cf. Article du CdY du 31 mars) montrent bien s'il en était besoin que le budget primitif a été présenté aux élus avec une hypothèse de taux inchangés par rapport à 2009.
C'est donc sur la foi de ces informations que les conseillers municipaux ont voté le budget primitif 2010.
Un vote illégal
Comme l'a annoncé le maire lors de la séance du 25 mars la baisse des taux de 6,5% entraîne une baisse des recettes budgétées de près de 800.000 euros (799.315 € précisément) ce qui déséquilibre le budget primitif et rend invalide le vote de décembre.
La seule solution acceptable aurait été de faire voter un budget complémentaire aux conseillers mais cela aurait souligné l'inanité des pratiques de la municipalité. Il aurait fallu dire précisément quels étaient les dépenses qui diminuaient. On aurait eu quelques surprises.
Formons le voeu que cette nouvelle irrégularité fasse l'objet d'un recours pour que les coupeurs de bateaux en deux soient enfin mis devant leurs responsabilités.
Vous avez des enfants de 7 à 17 ans, garçons ou filles, qui cherchent à occuper une partie de leurs vacances cet été.
Pourquoi ne pas leur faire découvrir la randonnée en montagne dans la chaîne des Pyrénées.
L'association Centre de Montagne Nantes Vallée d'Aure , (C.M.N.V.A.) organise chaque année depuis plus de 50 ans, deux séjours : trois semaines en juillet, deux semaines en août, à Aulon (65).
Les enfants randonnent, campent, admirent les edelweiss et les bouquetins et s'initient aux merveilles de la nature...
Vous trouverez ci-joint leurs coordonnées.
Si vous désirez communiquer avec des enfants ayant pratiqué ces séjours contactez-nous.